Publications de nos enseignants chercheurs
Publié le 11 octobre 2022 – Mis à jour le 18 octobre 2022
Jérôme RONCHETTI
Maître de Conférences en Économie – Université Lyon 3
Chef de département GACO – I.U.T. Jean Moulin
Chercheur à Magellan (EA 3713) – iaelyon School of Management
Chercheur associé à la Chaire de recherche « Valeur(s) du soin »
D’ici 2030, les 60 ans et plus représenteront 20 millions de personnes en France (contre 15 millions aujourd’hui). D’ici 2050, plus d’un quart de la population des pays européens aura 65 ans et plus. Les personnes qui atteignent l'âge de 65 ans ont, en moyenne, 20 ans d'espérance de vie mais ne peuvent espérer être en bonne santé que pendant la moitié de cette période. Elles doivent donc se préparer à une décennie de handicaps potentiels, tandis que leurs attentes en matière de vieillissement à domicile (plutôt qu'en institution) sont de plus en plus grandes. Pourtant, les politiques publiques mises en place sont encore trop peu nombreuses et l’investissement dans l’hôpital public ne correspond pas aux besoins nécessaires de demain. Grâce à 3 articles entrant dans le champ de la silver économie, nous montrons que (1) les aides formelles proposées pour les soins de longue durée doivent être optimisées, dans un double souci de soulager l’aidant informel et repousser l’entrée de la personne dans le processus de dépendance ; (2) l’espérance de vie est une mesure imparfaite de la qualité de vie, nécessitant des indicateurs du bien-vieillir plus aptes à mieux comprendre l’état de santé réel des populations ; (3) l’hôpital public peine à recruter du fait des contraintes pénibles des métiers de la santé, demandant un investissement public conséquent pour attirer le personnel de soins exigé par le vieillissement rapide de la population.
(1) Rapp, T., Ronchetti J., Sicsic J. & the SPRINT-T consortium (2022)."Impact of formal care consumption on informal care use in Europe. What is happening at the beginning of dependency?", Health Policy [CNRS 2 - HCERES A]
(2) Rapp, T., Ronchetti J., Sicsic J. (2022). "Where are Populations Aging Better? A Global Comparison of Healthy Aging Across Organization for Economic Cooperation and Development Countries" with T.Rapp & J.Sicsic, Value in Health [CNRS 2 - HCERES A]
(3) Rapp, T., Ronchetti J., Sicsic J. (2021). "Are long-term care jobs harmful? Evidence from Germany", European Journal of Health Economics [CNRS 2 - HCERES A]
Carole CHARBONNEL
Maître de Conférence en Sciences de Gestion
Conférence Academy of Marketing Science
La conférence de l'Academy of Marketing Science est la conférence de référence pour la recherche en marketing au plan international. En 2022 elle a eu lieu à Monterey en Californie, et a réuni environ 500 chercheurs en marketing de tous pays du monde, dont dix-sept français.
Au titre de l'I.U.T. et de l'U.R. Magellan, j'y ai présenté le 25 mai 2022 l'article suivant : "Value Co-Creation As A Marketing Practice: Performance And Firm-level Antecedents."
Fondé sur un questionnaire complété par 243 managers marketing français, cet article s'intéresse aux pratiques des managers marketing, en étudiant leur performance et leur évolution. Sous l'effet des technologies numériques, un nombre croissant de managers est en effet amené à faire participer activement les consommateurs aux processus marketing, transformant les consommateurs en "collaborateurs" à temps partiel de l'entreprise.
ADOPRIVACY, une recherche-action pour sensibiliser les jeunes à la protection de la vie privée sur les plateformes numériques.
« Pour moi, on n’a pas de confiance (dans les plateformes) mais on est obligé de l’avoir, parce que c’est avec la technologie que le monde avance, donc il faut faire avec » (Tonny, 20 ans, Lycée pro Lamarque)[1]
« Moi je pense qu’on a le droit, mais pas le pouvoir » (‘Il, 16 ans, Lycée Descartes)[2]
La vie privée existe-t-elle encore dans un monde de plus en plus connecté, avec un taux d’équipement en appareils connectés et des durées de connexion en constante augmentation ? Peut-on encore maîtriser des données et des informations personnelles que nous laissons sur le web ? Si ces questions concernent tout internaute, elles se posent d’une manière encore plus brûlante pour des jeunes usagers, qui acquièrent sans difficultés les compétences techniques sans toujours être conscients des risques et des dangers présents sur le web.
Lauréat de l’appel à projet de recherche du Défenseur des droits[3] et de l’INJEP[4], 2021, "Accès aux droits des jeunes : connaissance des droits et des recours, usage d’Internet & dématérialisation et inégalités d’accès aux droits des jeunes », la recherche-action ADOPRIVACY[5] cherche à éclairer cette problématique. Elle porte, d’une part, sur les mécanismes d’appréhension de la « vie privée » par les adolescents, leurs stratégies d’exposition ou de confidentialité, et d’autre part, sur les modalités de transmission des repères en « culture numérique » mobilisées par les enseignants et les éducateurs pour réaliser cette sensibilisation.
Coordonnée au niveau national par Sophie Jehel, Maître de Conférences H.D.R. au Cemti, Université Paris 8, cette recherche-action est conduite sur le terrain lyonnais par deux chercheures du laboratoire ELICO[6] : Valentyna Dymytrova[7], Maître de Conférences en Science de l'Information et de la Communication IC à l’I.U.T. de Lyon 3 et Valentine Favel-Kapoian[8], enseignante docteure à l’Inspé de l’Académie de Lyon.
La meilleure façon de sensibiliser les jeunes à la vie privée, c’est de ne pas leur imposer une série de règles à respecter ni d’adopter des solutions technologiques pour bloquer leur accès. Il s’agit surtout de les aider à acquérir les compétences qui leur permettront d’évaluer les situations de façon éclairée et de développer leur esprit critique.
À partir des cadres théoriques en sciences de l’information de la communication et en sociologie des médias (sur l’exposition de soi sur le web), en psychologie cognitive (dilemme moral et vigilance épistémique), en sciences de l’éducation (apprentissage, enquête, créativité) et en droit (vie privée, liberté d’expression, R.G.P.D.), cette recherche-action articule des espaces d’enquête et de création afin de construire de nouveaux scénarios d’apprentissage et de discussion de la « privacy » par les adolescents et de stimuler la réflexivité, dans une approche éthique, des enquêtés mais aussi de celle des enseignants.
Deux établissements partenaires, le lycée Lamarque (Rillieux-la-Pape[9]) et le lycée Descartes (Saint-Genis-Laval[10]) accueillent l’équipe lyonnaise pour l’enquête par focus groupe et questionnaire, la mise en œuvre des séquences pédagogiques autour d’un dispositif pédagogique original de saynètes et la démarche de création.
Les résultats de la première année de recherche ont été présentés et discutés lors des journées d’étude « Les industries du numérique et les jeunes : Innovation, créativité et protection des enfants et des adolescents », les 4 et 5 juillet 2022 à l’université Paris Panthéon Assas[11].
Associant chercheurs et d’autres acteurs de la société, la recherche-action Adoprivacy s’inscrit dans une dynamique de production du savoir en réponse à une demande sociale. Elle illustre également la façon dont les projets de recherche peuvent nourrir les enseignements. En effet, le travail de terrain permet à Valentyna Dymytrova de proposer des contenus pertinents et adaptés à son public dans le cadre de ses cours en Culture numérique assurés au sein du B.U.T. Information et Communication[12].
Les institutions impliquées sont les suivantes :
ELICO, Équipe de recherche de Lyon en sciences de l’Information et de la COmmunication est une unité de recherche (UR) qui rassemble des enseignant·es-chercheur·es principalement réparti·es dans 6 établissements d’enseignement supérieur du site Lyon–Saint-Étienne : Université Claude-Bernard-Lyon 1, Université Lumière-Lyon 2, Université Jean-Moulin-Lyon 3, l'I.E.P. de Lyon, Enssib et Université Jean-Monnet-Saint-Étienne. L’U.R. compte environ 80 membres dont 45 enseignant·es-chercheur·es, 20 doctorant·es, 3 personnels administratifs et des chercheur·es associé·es.
Le Défenseur des droits :autorité administrative indépendante, créée en 2011 et inscrite dans la Constitution, elle a un champ de compétence qui s’étend à la défense des droits des usagers des services publics, la défense et la promotion des droits de l’enfant, la lutte contre les discriminations, le respect de la déontologie des professionnels de la sécurité et l’orientation et la protection des lanceurs d’alerte. Elle s'est vu confier deux missions : 1) défendre les personnes dont les droits ne sont pas respectés ; 2) permettre l'égalité de tous et toutes dans l'accès aux droits. Dans le cadre de ses missions, le Défenseur des droits conduit et coordonne des travaux d'études et de recherches.
L’Injep :
L’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire est un service à compétence nationale du ministère en charge de la Jeunesse créé par décret n° 2015-1771 du 24 décembre 2015. L’Injep est à la fois un observatoire producteur de connaissances et un centre de ressources et d’expertise sur les questions de jeunesse et les politiques publiques qui lui sont dédiées, sur l’éducation populaire, la vie associative et le sport. Dans le cadre de ses missions, l’Injep produit, conduit et coordonne des travaux d'études et de recherches.
Privacytech[13]
PRIVACY TECH, enfin, est un projet d’innovation collaborative destiné à recenser, à promouvoir et à co-développer des solutions juridico-techniques au service de la protection de la vie privée sur Internet.
[1] Extraits des verbatims.
[2] Ibid.
[3] https://www.defenseurdesdroits.fr/
[4] https://injep.fr/.
[5] https://www.adoprivacy.fr/.
[6] https://elico-recherche.msh-lse.fr/lunite.
[7] https://elico-recherche.msh-lse.fr/membres/valentyna-dymytrova-2.
[8] https://elico-recherche.msh-lse.fr/membres/valentine-favel-kapoian.
[9] https://georges-lamarque.ent.auvergnerhonealpes.fr/
[10] https://rene-descartes.ent.auvergnerhonealpes.fr/
[11]https://www.u-paris2.fr/fr/evenements/les-industries-du-numerique-et-les-jeunes.
[12] https://iut.univ-lyon3.fr/dut-information-communication-option-communication-des-organisations-2.
[13] https://www.privacytech.fr/
Jessica ATTALI-COLAS
Maître de conférences en droit privé
Responsable du parcours Patrimoine et finance
Equipe de recherche Louis Josserand
Madame ATTALI-COLAS a écrit récemment un article qui a été publié à la Gazette du Palaiq, qui traite, notamment, de la réforme des retraites à venir.
J. Attali-Colas, "La sécurisation des retraites : où en sommes-nous ?", GPL 13 sept. 2022, n° GPL439u7.
Maître de Conférences en Économie – Université Lyon 3
Chef de département GACO – I.U.T. Jean Moulin
Chercheur à Magellan (EA 3713) – iaelyon School of Management
Chercheur associé à la Chaire de recherche « Valeur(s) du soin »
D’ici 2030, les 60 ans et plus représenteront 20 millions de personnes en France (contre 15 millions aujourd’hui). D’ici 2050, plus d’un quart de la population des pays européens aura 65 ans et plus. Les personnes qui atteignent l'âge de 65 ans ont, en moyenne, 20 ans d'espérance de vie mais ne peuvent espérer être en bonne santé que pendant la moitié de cette période. Elles doivent donc se préparer à une décennie de handicaps potentiels, tandis que leurs attentes en matière de vieillissement à domicile (plutôt qu'en institution) sont de plus en plus grandes. Pourtant, les politiques publiques mises en place sont encore trop peu nombreuses et l’investissement dans l’hôpital public ne correspond pas aux besoins nécessaires de demain. Grâce à 3 articles entrant dans le champ de la silver économie, nous montrons que (1) les aides formelles proposées pour les soins de longue durée doivent être optimisées, dans un double souci de soulager l’aidant informel et repousser l’entrée de la personne dans le processus de dépendance ; (2) l’espérance de vie est une mesure imparfaite de la qualité de vie, nécessitant des indicateurs du bien-vieillir plus aptes à mieux comprendre l’état de santé réel des populations ; (3) l’hôpital public peine à recruter du fait des contraintes pénibles des métiers de la santé, demandant un investissement public conséquent pour attirer le personnel de soins exigé par le vieillissement rapide de la population.
(1) Rapp, T., Ronchetti J., Sicsic J. & the SPRINT-T consortium (2022)."Impact of formal care consumption on informal care use in Europe. What is happening at the beginning of dependency?", Health Policy [CNRS 2 - HCERES A]
(2) Rapp, T., Ronchetti J., Sicsic J. (2022). "Where are Populations Aging Better? A Global Comparison of Healthy Aging Across Organization for Economic Cooperation and Development Countries" with T.Rapp & J.Sicsic, Value in Health [CNRS 2 - HCERES A]
(3) Rapp, T., Ronchetti J., Sicsic J. (2021). "Are long-term care jobs harmful? Evidence from Germany", European Journal of Health Economics [CNRS 2 - HCERES A]
Carole CHARBONNEL
Maître de Conférence en Sciences de Gestion
Conférence Academy of Marketing Science
La conférence de l'Academy of Marketing Science est la conférence de référence pour la recherche en marketing au plan international. En 2022 elle a eu lieu à Monterey en Californie, et a réuni environ 500 chercheurs en marketing de tous pays du monde, dont dix-sept français.
Au titre de l'I.U.T. et de l'U.R. Magellan, j'y ai présenté le 25 mai 2022 l'article suivant : "Value Co-Creation As A Marketing Practice: Performance And Firm-level Antecedents."
Fondé sur un questionnaire complété par 243 managers marketing français, cet article s'intéresse aux pratiques des managers marketing, en étudiant leur performance et leur évolution. Sous l'effet des technologies numériques, un nombre croissant de managers est en effet amené à faire participer activement les consommateurs aux processus marketing, transformant les consommateurs en "collaborateurs" à temps partiel de l'entreprise.
Valentyna DYMYTROVA
Maître de conférences en Sciences de l'Information et de la Communication
Responsable de la Licence professionnelle Marketing numérique et Communication digitale
Membre du laboratoire ELICO - EA 4147
ADOPRIVACY, une recherche-action pour sensibiliser les jeunes à la protection de la vie privée sur les plateformes numériques.
« Pour moi, on n’a pas de confiance (dans les plateformes) mais on est obligé de l’avoir, parce que c’est avec la technologie que le monde avance, donc il faut faire avec » (Tonny, 20 ans, Lycée pro Lamarque)[1]
« Moi je pense qu’on a le droit, mais pas le pouvoir » (‘Il, 16 ans, Lycée Descartes)[2]
La vie privée existe-t-elle encore dans un monde de plus en plus connecté, avec un taux d’équipement en appareils connectés et des durées de connexion en constante augmentation ? Peut-on encore maîtriser des données et des informations personnelles que nous laissons sur le web ? Si ces questions concernent tout internaute, elles se posent d’une manière encore plus brûlante pour des jeunes usagers, qui acquièrent sans difficultés les compétences techniques sans toujours être conscients des risques et des dangers présents sur le web.
Lauréat de l’appel à projet de recherche du Défenseur des droits[3] et de l’INJEP[4], 2021, "Accès aux droits des jeunes : connaissance des droits et des recours, usage d’Internet & dématérialisation et inégalités d’accès aux droits des jeunes », la recherche-action ADOPRIVACY[5] cherche à éclairer cette problématique. Elle porte, d’une part, sur les mécanismes d’appréhension de la « vie privée » par les adolescents, leurs stratégies d’exposition ou de confidentialité, et d’autre part, sur les modalités de transmission des repères en « culture numérique » mobilisées par les enseignants et les éducateurs pour réaliser cette sensibilisation.
Coordonnée au niveau national par Sophie Jehel, Maître de Conférences H.D.R. au Cemti, Université Paris 8, cette recherche-action est conduite sur le terrain lyonnais par deux chercheures du laboratoire ELICO[6] : Valentyna Dymytrova[7], Maître de Conférences en Science de l'Information et de la Communication IC à l’I.U.T. de Lyon 3 et Valentine Favel-Kapoian[8], enseignante docteure à l’Inspé de l’Académie de Lyon.
La meilleure façon de sensibiliser les jeunes à la vie privée, c’est de ne pas leur imposer une série de règles à respecter ni d’adopter des solutions technologiques pour bloquer leur accès. Il s’agit surtout de les aider à acquérir les compétences qui leur permettront d’évaluer les situations de façon éclairée et de développer leur esprit critique.
À partir des cadres théoriques en sciences de l’information de la communication et en sociologie des médias (sur l’exposition de soi sur le web), en psychologie cognitive (dilemme moral et vigilance épistémique), en sciences de l’éducation (apprentissage, enquête, créativité) et en droit (vie privée, liberté d’expression, R.G.P.D.), cette recherche-action articule des espaces d’enquête et de création afin de construire de nouveaux scénarios d’apprentissage et de discussion de la « privacy » par les adolescents et de stimuler la réflexivité, dans une approche éthique, des enquêtés mais aussi de celle des enseignants.
Deux établissements partenaires, le lycée Lamarque (Rillieux-la-Pape[9]) et le lycée Descartes (Saint-Genis-Laval[10]) accueillent l’équipe lyonnaise pour l’enquête par focus groupe et questionnaire, la mise en œuvre des séquences pédagogiques autour d’un dispositif pédagogique original de saynètes et la démarche de création.
Les résultats de la première année de recherche ont été présentés et discutés lors des journées d’étude « Les industries du numérique et les jeunes : Innovation, créativité et protection des enfants et des adolescents », les 4 et 5 juillet 2022 à l’université Paris Panthéon Assas[11].
Associant chercheurs et d’autres acteurs de la société, la recherche-action Adoprivacy s’inscrit dans une dynamique de production du savoir en réponse à une demande sociale. Elle illustre également la façon dont les projets de recherche peuvent nourrir les enseignements. En effet, le travail de terrain permet à Valentyna Dymytrova de proposer des contenus pertinents et adaptés à son public dans le cadre de ses cours en Culture numérique assurés au sein du B.U.T. Information et Communication[12].
Les institutions impliquées sont les suivantes :
ELICO, Équipe de recherche de Lyon en sciences de l’Information et de la COmmunication est une unité de recherche (UR) qui rassemble des enseignant·es-chercheur·es principalement réparti·es dans 6 établissements d’enseignement supérieur du site Lyon–Saint-Étienne : Université Claude-Bernard-Lyon 1, Université Lumière-Lyon 2, Université Jean-Moulin-Lyon 3, l'I.E.P. de Lyon, Enssib et Université Jean-Monnet-Saint-Étienne. L’U.R. compte environ 80 membres dont 45 enseignant·es-chercheur·es, 20 doctorant·es, 3 personnels administratifs et des chercheur·es associé·es.
Le Défenseur des droits :autorité administrative indépendante, créée en 2011 et inscrite dans la Constitution, elle a un champ de compétence qui s’étend à la défense des droits des usagers des services publics, la défense et la promotion des droits de l’enfant, la lutte contre les discriminations, le respect de la déontologie des professionnels de la sécurité et l’orientation et la protection des lanceurs d’alerte. Elle s'est vu confier deux missions : 1) défendre les personnes dont les droits ne sont pas respectés ; 2) permettre l'égalité de tous et toutes dans l'accès aux droits. Dans le cadre de ses missions, le Défenseur des droits conduit et coordonne des travaux d'études et de recherches.
L’Injep :
L’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire est un service à compétence nationale du ministère en charge de la Jeunesse créé par décret n° 2015-1771 du 24 décembre 2015. L’Injep est à la fois un observatoire producteur de connaissances et un centre de ressources et d’expertise sur les questions de jeunesse et les politiques publiques qui lui sont dédiées, sur l’éducation populaire, la vie associative et le sport. Dans le cadre de ses missions, l’Injep produit, conduit et coordonne des travaux d'études et de recherches.
Privacytech[13]
PRIVACY TECH, enfin, est un projet d’innovation collaborative destiné à recenser, à promouvoir et à co-développer des solutions juridico-techniques au service de la protection de la vie privée sur Internet.
[1] Extraits des verbatims.
[2] Ibid.
[3] https://www.defenseurdesdroits.fr/
[4] https://injep.fr/.
[5] https://www.adoprivacy.fr/.
[6] https://elico-recherche.msh-lse.fr/lunite.
[7] https://elico-recherche.msh-lse.fr/membres/valentyna-dymytrova-2.
[8] https://elico-recherche.msh-lse.fr/membres/valentine-favel-kapoian.
[9] https://georges-lamarque.ent.auvergnerhonealpes.fr/
[10] https://rene-descartes.ent.auvergnerhonealpes.fr/
[11]https://www.u-paris2.fr/fr/evenements/les-industries-du-numerique-et-les-jeunes.
[12] https://iut.univ-lyon3.fr/dut-information-communication-option-communication-des-organisations-2.
[13] https://www.privacytech.fr/
Jessica ATTALI-COLAS
Maître de conférences en droit privé
Responsable du parcours Patrimoine et finance
Equipe de recherche Louis Josserand
Madame ATTALI-COLAS a écrit récemment un article qui a été publié à la Gazette du Palaiq, qui traite, notamment, de la réforme des retraites à venir.
J. Attali-Colas, "La sécurisation des retraites : où en sommes-nous ?", GPL 13 sept. 2022, n° GPL439u7.
Mise à jour : 18 octobre 2022